| = Traces intangibles | Anne Brunelle [03.May.06 00:22] |
| Laisser une trace sur son passage... probablement un désir qui nous habite tous un jour ou l'autre, surtout quand le départ approche. Pourtant ce qu'on laisse de plus durable derrière soi est intangible : les coeurs que l'on a touchés. Nos enfants ne sont-ils pas notre seul véritable héritage, une parcelle de nous que rien ne pourra jamais détruire complètement ? J'ai beaucoup aimé ce poème, merci. Annie | |
| = Sentiment de la finitude. | Denis Beckert [06.May.06 19:53] |
| Merci Annie,oui,les enfants,les coeurs qu'on a touchés...et aussi des petites choses,des traces infimes,le tabac qu'on partage,un geste d'amitié,un regard,les mains qu'on veut garder ouvertes,le sourire d'un enfant,ce matin à la boulangerie...Le passage,toutes ces traces,avec le sentiment de la finitude,qui font peut-être notre part d'éternité... Encore merci pour ce beau commentaire. Denis | |
| = Bravo mais frissons! | CROZEL Magali [13.May.06 12:42] |
| Une vie qui s'envole sans ne rien laisser de lui. Il est venu puis reparti! Seul le noir dans l'infini de la vie et une trace dans des mémoires. On ne sait rien de lui. J'aurais aimé le retenir et avoir des souvenirs à palper, mais trop vite, il nous a quitté! | |
| = on ne retient pas... | Denis Beckert [14.May.06 06:42] |
| Merci Magali pour ton commentaire. Je crois qu'on ne peut pas retenir ce qui doit partir, c'est déjà fait.Et palper...on peut toujours palper les mots! Amitiés. Denis | |