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 =  2 chansons!
Guy Rancourt
[10.Sep.07 21:37]
J'annexe les deux chansons qui m'ont inspiré dans la composition de ce poème :

1) D'abord, celle de pauline Julien "L'ÂME À LA TENDRESSE"

L'âme à la tendresse


Ce soir j'ai l'âme à la tendresse
Tendre tendre, douce douce
Ce soir j'ai l'âme à la tendresse
Tendre tendre, douce douce

Tresser avec vous ce lien et cette délicatesse
Vous mes amis d'hier et d'aujourd'hui
Cette amitié dans la continuité
Un mot un regard un silence un sourire une lettre

Françoise Allen Claire Patrick Kim Roland Réjean Louise
Et tous les autres que je n'saurai nommer
Vous êtes mes havr's des soirs de détresse
La goutte d'eau qui fait jaillir la source ma lumière

Aujourd'hui pourtant je vous attends en vain, je vous espère
Que faites-vous j'appelle je tends les bras
Nos amitiés se sont-elles évanouies ?
Peut-être n'avons-nous plus rien à nous dire je chavire

Pourtant nous savons que la vie est plus forte que la mort
Le désespoir a dit son dernier mot
Permettez-moi de vous aimer toujours
Riches de nos secrets j'attendrai j'attendrai
J'attendrai j'attendrai j'attendrai j'attendrai
Les amitiés nouvelles.

(Paroles: Pauline Julien.
Musique: François Dompierre
© Éditions Nicolas.)

2)Enfin, celle de Bourvil "La tendresse"

La tendresse

On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question

Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment

Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long

Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien

Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin

Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours

(Bourvil
Paroles et Musique: Noël Roux, Hubert Giraud, 1963)






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