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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2013-09-22 | [This text should be read in francais] | Submited by Guy Rancourt
Ô ton visage comme un nénuphar flottant
Et le temps c’est le cœur des aulnes À regretter continu sur des rives insensées Ton âme est quelque part Sur les collines de chair oubliée Et le temps c’est mon soulier à creuser contre le ciel À vivre mon angoisse poudrait Éclairait l’obscure arête de ma transparence Et le temps c’est ton visage à aimer blanc Dans cette vielle qui m’a jeté tous ses mauvais sorts Là ton passage dure encore creuset de feu Et le temps c’est une ligne droite et mourante De mon œil à l’inespéré (Gaston Miron, Deux sangs, 1953, p. 47)
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