agonia
deutsch

v3
 

agonia.net | Richtlinien | Mission Kontakt | Konto erstellen
poezii poezii poezii poezii poezii
poezii
armana Poezii, Poezie deutsch Poezii, Poezie english Poezii, Poezie espanol Poezii, Poezie francais Poezii, Poezie italiano Poezii, Poezie japanese Poezii, Poezie portugues Poezii, Poezie romana Poezii, Poezie russkaia Poezii, Poezie

Artikel Gemeinschaften Wettbewerb Essay Multimedia Persönlich Gedicht Presse Prosa _QUOTE Drehbuch Spezial

Poezii Românesti - Romanian Poetry

poezii


 


Weitere Texte dieses Autors


Übersetzung dieses Textes
0

 Kommentare der Mitglieder


print e-mail
Leser: 4463 .



J\'ai déposé mon journal de bord
gedicht [ ]
À cause de l’Esprit, à cause des vagues de la vie,

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
von [Reumond ]

2008-12-02  | [Text in der Originalsprache: francais]    | 




À cause de l’Esprit, à cause des vagues de la vie,
À cause des vents et des marées …
Si puissants, si puissantes … étranglantes
Qu’ils remontent dans ma gorge serrée,
J’ai déposé mon journal de bord,
Au bord des écluses du Ciel.

No taire - tout dire – Textes amants -
Du fond de l’Océan originel, en route,
Vers les terres de mes chairs titillées,
Mes entrailles aux fruits de Mer.

Chemin de vagues et de varech, délié,
Reliant comme arc-en-ciel, le champ des étoiles,
Avec celui des nuages et des terres à sol.

Les vents comme les sentiments abondent,
Je vague à bonde, sur les flots que j’emprunte,
Ceux que personne n’abime - Vide nu.

Je n’entends que les ressacs de ma respiration,
Sur les branchies des généalogies de noyés.

Malgré les bruissements insondables des pensées,
Je ne perçois que mon haleine à court de sels,
Que mon propre souffle de rumeurs d’eaux profondes.

Souffle, verbe, qui fluctuent de falaises de craie,
En falaises de granit, flux et reflot,
S’agitant comme saillies pour faire lever la pâte
Des jours nouveaux, sur l’autel de papier.

J’écrie, pour faire parler les échos des naufragés,
Et les cris des rescapés de l’aurore, quand se lèvent
Des libertés retrouvées, entre quelques coquillages.

Mots qui bruissent aussi à même les mots donnés,
En échanges de quelques caresses des vents,
Frissons.

Mes paupières tombent sur des traces infinies,
La lame affleure, la vague efflore, le vent déflore,
Mes paupières closes sur le monde d’hier.

Larmes fracassées sur les plages,
Sur les sables en écumes, prunelles,
Dans le sillage des perspectives pleines de visions
Plus ou moins usagées.

Roland




.  |










 
poezii poezii poezii poezii poezii poezii
poezii
poezii Eine virtuelle Heimstätte der Litaratur und Kunst poezii
poezii
poezii  Suche  Agonia.Net  

Bitte haben Sie Verständnis, dass Texte nur mit unserer Erlaubnis angezeigt werden können.
Copyright 1999-2003. agonia.net

E-mail | Vertraulichkeits- und Publikationspolitik

Top Site-uri Cultura - Join the Cultural Topsites!