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agonia Textes Recommandés
■ L'hiver
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2009-11-06
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peut-être que j’ai eu tort en me fiant au miroir et je suis passé à travers sereinement
aujourd’hui une coupe est de nouveau pleine d’eau transformée en vin... une ombre passait au-dessus des eaux et derrière elle battait une pensée le sentier du rêve de la première enfance faisait grandir alors le mot d’un rang je m’arrête un peu pour voir où je trouverais un cercle afin de m’enfuir dans le village m’étendre en m’endormant et veiller en même temps dans l’obscurité profonde d’un quart quelque part une buée passait si doucement en mironton mirontaine et sur le nÅ“ud du temps apparaissait une niche de larmes dans l’œil ouvert du ciel je me tais dans la pensée d’isihie et dans la prière je mets encore une fois de la braise brûlante et dans la plus sages des fenêtres je fais pousser des fleurs dont les racines surgissent des points de dé et si le rêve arrive à passer à travers les ombres silencieuses je viens avec toi Isihie et je cours dans l’escalier pavés d’illusions je dis les dires du silence et dans mon vide je laisse encore un peu de ces vagues de la vie qui mènent avec eux tant et tant de choses inutiles je courais accompagné par la pensée d’une soirée parmi la fumée de brume d’antan et je me perdais avec le souvenir dans la bande joyeuse des nouveau-nés bénits je pensais que le monde n’est qu’un conte de fée rempli d’une beauté sereine mais je viens de voir les collines de vigne chargées de douleurs amères un jour quand les douleurs de la couleur étaient comme les silences dans l’Infini et lorsque des nappes d’eau invisibles à l’œil nu faisaient grandir un lac plein d’absolu sous de lourds nuages une pensée bleue amassait des illusions en échange des sursis et dans les plus beaux rêves elle levait des sentiers en spirales allant vers un monde idéal c’est comme ça que je disais ce soir quand tu demandas au peuplier un bras peut-être j’en dirais encore plus mais je me tresse un nÅ“ud coulant pour laisser du filet de pêcheur le filin de la barque d’un rêve où la mer bleue me comble tout un gouffre de profondeur je dis encore une ligne et je tire la corde pour baisser le rideau et au-delà des rêves de corina je façonne le silence pour tant d’ histoires la corrida se mit en marche par hasard et d’un coup apparaitra de nouveau une ombre de matador d’un soir qui dans le cercle rouge va finir un jour pour toujours ............................................................ ....................... tu croyais que c’est une blague et que je suis maussade à cause d’un rêve je savais que le Paradis existe mais le monde s’avéra d’un coup un vilain mensonge je croyais encore sincèrement que si le rêve est fait de lumière et d’un mot simplement doux la fleure de la tristesse donnerait son fruit quand elle trouvera sur son chemin un peu de terre... ConstanÈ›a, le 31 octobre 2009 ................................ d’après trecea o umbră peste ape (când visul se întâmplă), de Ioan-Mircea Popovici
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