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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2010-11-19 | [This text should be read in francais] |
Le passé – de vagues insinuations de faits
Inconséquemment tracés sur le papier, Par une main qui avait cru qu’elle écrivit En plein jour, pour les effacer dans la nuit – Est juste un palliatif... donc une névralgie ! Quel frémissement peut alors, inexorable, Rider ta peau, la couvrant de plis tordus, Au point que tu craignes ce qui t’est inconnu, Où quasiment rien n’a l’air d’être bien palpable, Ce qui est visible jaillissant du non-vu ? D’une main, on efface l’écriture des tablettes, De l’autre, on veut tout refaire, par répulsion Que tout le monde ignore à jamais ton nom, Comme les mots où profondément on souhaite La vérité, qui ton mutisme interrompt. Comme le feu sacré on se retire en soi, Pour apprendre ses cause et principe imminents, Ecrits chiffrés, dérobés au firmament Lequel scintille entre bien et mal, aux abois... Le passé – mort ! Demain – un rêve ! Le présent...
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