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				Biografie Angelo Venturi 
					 
				
		Angelo VENTURI est né le 25 août 1939 à VILLA CAPPELLA, hameau de CERESARA, près de MANTOUE en Italie. 
 
Son enfance dans la plaine du Pô a connu les sévérités et les tendresses d'une Nature à laquelle il s'est peu à peu identifié. Elle est devenue l'épiphanie de sa vie intérieure, le visible de son invisible. 
Après des études universitaires de philosophie, psychologie et théologie à Milan, il s'est installé en France en poursuivant des études universitaires de lettres classiques et d'italien à Rouen, Caen et Paris. 
Après un long séjour en Normandie et avoir poursuivi des études de droit, d'archéologie et de mathématiques dans différentes facultés françaises et italiennes, il a été, jusqu'en 2002, professeur de sciences et techniques documentaires à Saint-Raphaël. 
 
Il a publié, depuis 1984, quinze recueils de poèmes: 
 
    * Le mendiant de l'impossible (1984) 
      Grand Prix de prose poétique de la ville d'Avignon et sélection nationale pour le prix J. Audiberti 
    * La plaine des songes (1989) 
    * Saison de Pothos (1991) 
    * Rive aux attentes (1993) 
    * Voyage sans escale (1994) 
    * L'infini ne sait plus où aller (1995) 
    * Villes bâties par le vent (1997) 
    * Fleuves (1998) 
    * Polyphème aux troupeaux de songes (1999) 
    * Madadayo (2000) 
    * Jeux en liberté fragile (2001) 
    * A la lisière de l'autre (2002) 
    * Les gares de la haute mer (2003) 
    * Rets aux nuages (2004) 
    * Odeur de nuits d'algues (2005) 
 
  
 
La poésie d'Angelo Venturi est celle de la "non-comparaison". 
Il n'y a pas un "sujet" qui compare ou se compare. 
Le "sujet" et l' "objet" ne font qu'un. 
Angelo Venturi, dans sa quête inépuisable de l'autre, dans ses errances à travers les souffrances du monde, croit au pouvoir CREATEUR de la poésie. 
Un poème serait stérile s'il ne créait d'autres poèmes chez ceux qui le lisent ou l'écoutent: des poèmes nouveaux, car ils seraient nécessairement liés à un vécu et à une capacité de sentir et s'émouvoir propres à chacun. 
Le poète serait alors, indépendamment de son vécu, non seulement un auteur, mais surtout un créateur. 
					 
				 
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