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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2010-01-31 | [Text in der Originalsprache: francais] |
Tu es si grand lorsque tu rajeunis !
Quand elle se penche sur le sentier escarpé De mon âge elle me dit : tu grandiras une nuit d’été Telle l’odeur des girofles. Je lui dis : Tu rajeunirais si tu dors. Je veille et je surveille dit-elle ; les yeux des voleurs Des rêves guettent notre aurore dans ton ramage. Il me faut deux vers de fatigue et un vert de thé vert Afin que mon éveil grandisse et l’éclair illumine La nuit de mon désert. Ô lui ai-je dit : Les ailes de mon corps ne déploient plus leur armée. Il n’y a plus de temps dans mes mains pour demain : Que la jeunesse grandisse sur ton sein à l’odeur de foin... Que tes mains balayent les feuilles automnales Des peupliers sur ma poitrine .Elle se tait…. L’amertume se répond sur son visage Comme de l`huile sur le papier et son regard Pleut des fleurs d’amandier et un drap pour mon poème…..
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