agonia francais v3 |
Agonia.Net | Règles | Mission | Contact | Inscris-toi | ||||
Article Communautés Concours Essai Multimédia Personnelles Poèmes Presse Prose _QUOTE Scénario Spécial | ||||||
|
||||||
agonia Textes Recommandés
■ Voir son épouse pleurer
Romanian Spell-Checker Contact |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2005-09-06
| Un jour après Beloxi (à ceux qui sont restés dans une si grande nuit) On dit qu’au dehors, il n’y a plus de chemins qu’erre un vent glacé et que les gyroscopes ont mordu la distance dans la ville des mirages qui n’a plus de nom. On dit que les araignées oublient de tisser leurs toiles et que la lune chemine perdue dans la carte de la nuit. On dit que les lumières se sont éteintes qu’il n’y a aucune vérité à retrouver et que personne ne s’occupe plus d’émettre des signaux que la vie n’est rien là où les mots courent se cacher. Maria Eugenia Caseiro (Traduction : Nicole Pottier)
|
||||||||
La maison de la litérature | |||||||||
La reproduction de tout text appartenant au portal sans notre permission est strictement interdite.
Copyright 1999-2003. Agonia.Net
E-mail | Politique de publication et confidetialité